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Vues et vécus en Algérie et ailleurs. Forum où au cours des jours et du temps j'essaierai de donner quelque chose de moi en quelques mots qui, j'espère, seront modestes, justes et élégants dans la mesure du possible. Bienvenue donc à qui accède à cet espace et bienvenue à ses commentaires. Abdelmalek SMARI

Kamel Daoud, Amira Bouraoui, Rachid Boudjedra et moufti Hamadache

N’a-t-il pas donné un nom bien arabe à un Algérien bien musulman ? Et vous osez l’accuser d’être anti-arabe et antimusulman ?! Espèce d’ingrats !

« Ennahar TV diffuse un appel au meurtre !

Croyant passer un sujet sur l’écrivain Kamel Daoud qui ‘‘se compromet contre l’arabe et l’islam’’, la chaîne de télévision Ennahar a diffusé, en direct, un appel à l’exécution de l’écrivain lancé par l’imam Hamadache. «J’ai lancé un appel aux autorités afin de (le) condamner à mort !», dit le salafiste dans un des journaux de cette chaîne, qui confond ainsi une position à un appel au meurtre. Et pour donner du crédit à cette thèse, la chaîne a fait parler l’écrivain Rachid Boudjedra, qui dénonce le comportement de Kamel Daoud. Ennahar TV ne donne bien sûr pas la parole à l’auteur de Meursault, contre-enquête ! » Ali Boukhlef

http://www.elwatan.com//actualite/mouvement-de-solidarite-en-faveur-de-kamel-daoud-18-12-2014-281998_109.php

Amira Bouraoui

Condamner les autres c'est devenu, chez nous, en Algérie, un sport populaire national. Il suffit de voir les foules déchainées qui jugent et condamnent et lynchent nos gouvernants, à chaque instant du jour comme de nuit, sur tous les medias et dans tous les forums des réseaux sociaux...

Hier récent c’était Amira, aujourd’hui c’est Kamel, qui tombe, lui aussi, sous la fatwa d’un certain Abdelfettah. Une fatwa, un appel à la mort pure et simple de notre écrivain.

On veut exécuter le redresseur de Camus. Pas moins que ça !

Ma foi, ce n’est point une mince affaire là ! Qu’est-ce qu’ils croient ces mercenaires ? qu’on a des citoyens meilleurs que Amira Bouraoui et Kamel Daoud ? qu’on en a à en exporter ? à en élaguer l’arbre Algérie ?!

Ces gens irresponsables qui veulent la mort de leurs propres concitoyens, du reste innocents et valeureux, sont des mercenaires à la solde de l’empire fauteur du dit chaos créateur dans les pays des Damnés.

Bien sûr tous les Algériens croient aimer l’Algérie, et tous l’aiment chacun à sa manière. Mais il est difficile de savoir qui aime vraiment le pays, c'est-à-dire positivement et qui l'aime d’une manière négative, contre productive.

D’abord qu’est-ce que ça veut dire aimer son pays ? grosso modo, être patriote c’est respecter ses propres compatriotes. Ce n’est pas couteux, ce n’est pas compliqué et surtout, surtout, ça n’est la propriété privée de personne.

Voilà une simple vérité que l’esprit étriqué et négatif de certains de nos compatriotes n’arrive pas à concevoir et à tolérer.

Amira Bouraoui se révèle-t-elle une patriote active ? voilà ces esprits véreux qui lui en veulent à mort ! le patriotisme n’est pas son affaire à elle. Elle, elle a tout juste la possibilité de faire la prostituée !!!

Eux, ces patriotes, ces exclusifs et uniques indispensables patriotes, n’ont rien à voir avec la bassesse morale d’une Amira. Eux, ils défendent l’islam et l’arabité de l’Algérie.

S’il est ridicule de donner de traitres aux personnes - car l'Algérie appartient à tous les Algériens – ou de les considérer comme prostituées, il est criminel d’appeler à leur mort.

Oui, condamner à mort quelqu’un, par une fatwa, une fatwa bidon en plus, c’est un crime qui requiert d’être réprouvé et son auteur jugé et puni.

Franchement, une personne comme Amira, noble et instruite, politiquement vive et consciente, courageuse et rassembleuse, intègre et honnête (même si on ne partage pas ses opinions politiques) ne pourrait être une prostituée.

Car la prostitution est la négation de toutes ces valeurs. Valeurs que Amira possède et cultive et voudrait de tout cœur partager avec ses concitoyens.

Cessez, ignorants et méchants, vous qui vous êtes ridiculement autoproclamés ses juges et ses bourreaux, cessez de vouloir avoir raison, tout en ayant tort!

Vous l'avez insultée, et il ne fallait pas insulter quelqu'un qui fait son ijtihad, qui fait son devoir d’homme et de citoyen libre et consciencieux, pour le bien de notre pays.

L'ijtihad pour le bien de l'Algérie est d’ailleurs requis chez tous les citoyens algériens, et pas seulement chez vous, chez moi ou chez les barbus ou les démocratistes.

Vous avez tort de l’avoir traitée de prostituée et vous avez été injustes et pas patriotes du tout.

Le patriotisme que vous avez, l'irrespect le tue.

On sait que cette accusation est injuste : c'est de la propagande contre Amira. D'ailleurs c'est presque la même arme qu'Amira utilise pour promouvoir son mouvement ; mais elle, elle ne s’abaisse pas jusqu’à insulter ses adversaires. Et dire donc d’elle qu'elle se prostitue, c'est de l'incroyable, c'est de l'idiotie extrême, à moins que le fait d'activer politiquement, signifie, dans le cas d'une femme algérienne, être une prostituée.

Quasi quasi, l’auteur de cette diffamation me rend sympathique la couleur idéologique de Madame Amira Bouraoui, et me rend attirant son mouvement Barakat.

Seulement j’ai mes opinions.

Le fils Kamel Daoud et le père Boudjedra, le lionceau et le lion qui a la paille dans le ventre

« Et pour donner du crédit à cette thèse, la chaîne a fait parler l’écrivain Rachid Boudjedra, qui dénonce le comportement de Kamel Daoud. » Ali Boukhlef (cité supra.).

Si M. Daoud est haut, du point de vue civisme et esprit - en tout cas il n'est pas bas -, il rend un petit service à M. Boudjedra (un mélancolique Tab jnanou? possible, mais lui aussi est un grand lion) en l'illuminant de ses phares, allumés dernièrement grâce au grand succès littéraire de sa « Contre-enquête ».

S'il est bas, toujours du point de vue civisme et morale - je ne crois pas qu'un esprit indépendant, lucide, honnête et courageux comme M. Daoud soit bas -, il aurait réussi à trainer en bas le vieux et hautain lion.

Boudjedra et ledit imam, le dénommé Abdelfettah, en veulent à M. Daoud. Mais le seul vil des deux reste quand même ce faux imam, cet idiot, ce mercenaire d’imam.

Je pense que M. Boudjedra craint le feu, car il commence à avoir de la paille dans son ventre : dans l’apogée de sa force, n’a-t-il pas tiré à boulets rouges sur Kateb Yacine, avec la préméditation de le tuer en tant que « père » de la littérature algérienne moderne ?

M. Daoud est un lionceau, il finira un jour ou l’autre par tuer son père le lion. Peut-être il vient déjà de commettre le parricide ; d’où la réaction irrationnelle, violente et disproportionnée du père blessé et désemparé.

C’est pour ça qu’il a attaqué M. Daoud avec cette virulence, la virulence d’un désespéré.

M. Daoud, avec son chef-d’œuvre, sa Contre-enquête, a éviré, émasculé M. Boudjedra, ce nouveau « père » de la même littérature, le fossoyeur de Kateb Yacine et de Mohamed Dib.

M. Daoud l’a détrôné à son tour, et c’est lui qu’on a couronné comme nouveau maitre de la littérature algérienne.

Avec une seule œuvre « Meursault - contre-enquête » M. Daoud a réussi un coup que tous les œuvres de M. Boudjedra n’avaient pas pu réaliser : redresser le tort causé à la mémoire algérienne par l’une des plus grandes œuvres littéraires retenue non moins géniale : « L’étranger » d’Albert Camus.

Si ce n’est pas M. Daoud qui a rendu l’honneur perdu à l’Algérien, qui d’autre l’a-t-il fait mieux que lui et d’une manière aussi éloquente que la sienne ?

N’a-t-il pas donné un nom bien arabe à un Algérien bien musulman ? Et vous osez l’accuser d’être antiarabe et antimusulman ?!

Espèce d’ingrats !

Essayez, vous-mêmes, MM. Boudjedra et le moufti mercenaire, à redresser un tort de l’histoire, à cicatriser et guérir une blessure de la mémoire ; un tort et une blessure commis par un titan du verbe et de la mystification, Camus, sur le corps frêle et vulnérable d’un indigène indéfendu, humilié, écrasé, damné, martyrisé…

Essayez, vous-mêmes, MM. Les inquisiteurs, à remonter le temps, à lui faire une opération chirurgicale et en corriger la malformation. Chiche !

M. Daoud, lui, a bien réussi ce coup. Ce l’ha fatta, comme disent les Italiens. Et chapeau bas ! et c’est pourquoi on lui en veut à mort.

Et tant pis si l’on n’y peut rien pour Boudjedra, car c’est ainsi que va le monde : il va comme il va.

M. Daoud vous avez mon soutien.

M. Boudjedra, vous avez mon estime.

M. l’imam, va te faire f.

« S'il arrive quoi que ce soit à notre ami Kamed Daoud... » s’alarme un ami et collègue de M. Daoud.

Non M. Fayçal, tranquillo ! il ne doit lui arriver rien du tout. Il faut que nous le protégions comme nos yeux.

Ce n’est certes pas à cause de ses Chroniques dans les colonne du Quotidien d’Oran où il n’a cessé depuis deux lustres de déconstruire la médiocrité de l’esprit algérien qu’on cherche hypocritement à cacher derrière le tamis de l’authenticité arabo-islamique, ou un chimère archiste/kabyliste, en reniant des milliers d’années d’histoire et de mémoires, histoires et mémoires des Algériens, tous les Algériens, de toutes les régions algériennes.

S’il est vrai - comme il est dit dans la citation du frontispice - qu’on l’a condamné à cause de sa compromission « contre l’arabe et l’islam », ses inquisiteurs lui auraient fait le procès dès les premières chroniques qui n’ont jamais été tendres ni complaisantes envers la médiocrité des Algériens et pas seulement des Algériens, envers la médiocrité d’où qu’elle vienne.

Ces chroniques ont toujours dénoncé la médiocrité de nos gouvernants, de nos médias, de nos citoyens, de notre système éducatif, de notre culture spirituelle et surtout des contradictions et de l’aliénation de nos concitoyens lambda.

Je crois quant à moi que c'est son joyau de Contre-enquête qui a attiré l'envie des faillis malveillants.

Les mercenaires et leurs maitres

Et ce sont ces malveillants qui ont engagé ce mercenaire d'imam, ce tueur à gages, pour priver l’Algérie de s’orgueillir du génie de son enfant terrible.

Il semble que le destin de l’Algérie soit celui d’être saccagée dans sa matière grise ! Il semble qu’elle ne mérite pas le luxe d’avoir des génies !

Pourtant, des génies, la terre d’Algérie aussi en invente, en enfante, d’ailleurs comme toutes les autres terres des hommes.

Ces malveillants ont engagé donc ce mercenaires pour faire fuir notre grand écrivain, enfant de l’Algérie et produit de son école, et l’offrir à gratis comme produit fini à d’autres nations!

Ces ennemis de l’Algérie veulent s’accaparer du génie de notre écrivain et il faut que la justice algérienne arrête cet exécutant mercenaire et cherche à remonter jusqu’aux mandataires de ce délit en profil, en devenir.

Ces mandataires sont sûrement des médiocres en mal d’inspiration, imposteurs autoproclamés génies de la littérature et propriétaires privés exclusifs des chefs-d’œuvre. Ils n’arrivent pas à concevoir et à tolérer qu’un Algérien, un fils du peuple, les dépasse et leur dise quelques vérités sur leurs prétentions et leurs mensonges.

Ces médiocres ayant vu qu'ils ne brillaient pas du tout, et alors ils ont décidé de faire fuir, de déstabiliser, d'éclipser notre astre montant pour qu’ils restent les seuls à briller !

Et qu’on se rappelle que ce n'est point pour ses Chroniques qu'on en veut à M. Daoud, mais pour son fulgurant succès récent, pour sa fulgurante œuvre, sa fulgurante Contre-enquête.

Il faut que notre justice cherche les mandataires de ce délit en profil. Et il ne faut surtout pas qu’elle s’arrête au niveau de ce dit imam. Car il n’est qu’un mercenaire ébranlé par d’autres engrenages.

Que la justice fasse son travail !

On en a assez de la dictateur des médiocres et des obscurantistes !

Vive les personnes illuminées !

Vive l’Algérie des lumières !

Chers compatriotes, chers Algériens, on a là un grand homme, dans la personne de notre écrivain Kamel Daoud, ne le perdons pas. On a déjà assez perdu de notre matière grise, par mystification et par ignorance : Apulée, Aurèle Augustin, Derrida et tant d’autres que vous diront toutes les encyclopédies honnêtes et même Wikipedia.

Ces mandataires ont humé qu'il y a là en la personne de M. Daoud un grand écrivain et ils vont nous le chiper, nous en priver pour se l'approprier ou le déstabiliser pour tuer dans l’œuf son génie.

Pour ce faire ils ont désigné un de ces mercenaires, qui se recrutent à essaims, à troupeaux, parmi lesdits islamistes, parmi les bigots terroristes, parmi les ignorants obscurantistes.

On sait que ce genre de mercenaires a prouvé sa capacité de destruction et de ruine. Il est arrivé à détruire des Etats et ruiner des nations entière, figurez-vous un individu !

Vous vous souvenez peut-être de la Yougoslavie, la Somalie, l’Afghanistan, l’Irak, la Syrie, la très proche Libye, le Mali et tant d’autres pays encore.

Cet imposteur, ce criminel, ce mercenaire, ce goumi d'imam, il faut le dénoncer, le trainer en justice et lui cracher dessus ou le rouer de coups de falaqa.

M. Daoud, sachez que c'est un traitre de mercenaire et de goumi qui voulait vous vendre.

Ne nous reniez pas.

Ne reniez pas notre grande Algérie, celle d'Apulée, d'Augustin, de Ben Tachfine, de l'Emir, de Benbadiss, de Yacine, de Derrida et des autres Maamri, Arkoune, Ouattar, Djaout et Dib et le même Boudjedra. Ce sont eux les étoiles de l’Algérie, renions-les et on verra que l’Algérie tombera dans une obscurité froide sidérale de mort et d’inutilité.

C'est à cet imam mercenaire de rejoindre son employeur, l'empire.

RESTEZ, M. Daoud, en Algérie. Les Algériens authentiques vous aiment et vous aimeront toujours. Et puis c'est votre pays, votre mémoire, votre honneur, votre grandeur.

Restez, vous êtes notre fierté dans ces temps de grandes sécheresses morales et spirituelles. Ce n’est certes pas cet imam de m. que vous représentez, c’est les Algériens authentiques qui vous aiment et vous honorent que vous représentez.

Votre Contre-enquête est un chef-d’œuvre de la littérature. Il va faire date et école. Il va défier le temps et fossoyer ces crasseux d’imams et ces criminels de mercenaires qui se vendent et se prostituent chez les bédouins pour quatre sous, ruinant notre sérénité, chassant notre élite de notre pays, de la terre que nous aimons et qui nous aime, éradiquant notre mémoire et notre dignité, foulant de leurs pattes de porc (avec respect pour le porc) notre esprit et notre liberté.

Abdelmalek Smari, Milan 19-12-14

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A
Bonjour Mr. Abdelmalek Smari, avec tous mes respect. Seul l''insolent, le sans honneur et sans dignité, le sans pudeur, l'enfant de père inconnu d'origine douteuse et de mœurs dégénérés, le corrompu compromis jusqu'à la moelle, peut avoir le courage d'agresser cette noble langue et etendre au coran (el qor'an Al adim), au prophète sidna Mohammed al Mustapha (sala Allah alih sa Salem) a l'Islam, ces insinuations désobligeantes uniquement pour meubler ses pensées démoniaques et mensongères leur opinion dénuée de toute signification et qui n'est appuyée d'aucune évidence scientifique, sociologique, historique, linguistique... cet écrivain de la dernière pluie, fait la danse du ventre aux xénophobes franco-sionisto-racismo-fascismo-nostalgo-algero-franco. critique son pays pour plaire a ses maîtres Franco-sionistes? voila le piège qui tend les néo-colonialistes aux intellectuels maghrebins en particulier algériens, prix, Goncourt ou autre, une table ronde et des questions piège bien enrobée, et après on l'assume avec une fatwa parce que un bougnioul encore dans leur filet. Le problème vient d'un fait qu'il va raconter cela dans les médias français fascistes en sachant très bien les arrières pensées de ses pseudos soutient hypocrites qui sont foncièrement anti-algériens, il faut dormir debout que de croire a la sympathie des nostalgiques pervers de l'Algérie de papa Rodriguez. la France veille a ses intérêts comme en veille au lait sur le feu, si le loup ne se suffit pas les pâturages mais exige les moutons. le colonialisme français en sa qualité d'agresser criminel et de transgresser être un ami, un allié ou un tuteur. Cordialement.
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A
Je vous remercie M. Abdelkader pour votre long commentaire qui dénote un grand intérêt non seulement pour mon écrit mais surtout pour les problèmes auxquels notre jeune société (gouvernants et peuple) cherche avec fatigue et abnégation des solutions. <br /> En tant que jeune société qui travaille et cherche un destin et une vie meilleurs on peut se tromper, et c’est une preuve de notre marche en avant vers la lumière et la dignité. <br /> Si M. Daoud est le personnage que vous avez ici dépeint, moi je ne le connais que comme journaliste qui critique la médiocrité. <br /> Certes, en tant qu'homme et Algérien, il est un peu nerveux et son langage est un peu dur et cru. De ses relations avec les autres, je n'en sais bribe. Il ne me l'a jamais dit. <br /> De son art d'écrire, ce n'est pas à moi de le juger, mais je crois qu'il a du talent. Et selon moi avoir été nominé au prix Goncourt est un mérite, car dans cette France-là, la France efficace, on ne saurait récompenser la médiocrité ni d’ailleurs la lâcheté. <br /> Est-il critiquable notre écrivain et journaliste ? certes ! <br /> Peut-il se tromper ? certes !<br /> Ses erreurs – admettons qu’il en ait faites des impardonnables – nous ouvrent-elles le droit de l’insulter ou de l’accuser de tous les noms que je viens de lire dans votre commentaire ? non, l’insulter, lui manquer de respect est INADMISSIBLE.
A
Kamel Daoud, le jongleur l'alphabet, et son mépris des règles de déontologie une fraude dont la principale fonction est de frotter n'importe au vu et au su des gens sans prêter attention ni aux bonnes manières, ni aux respect des coutumes qui font partout dans le monde force de loi? A aucune profession honorable, et certainement pas au journalisme d'ou il se réclame ni a la littérature, le mécréants Kamel David ne peut prétendre appartenir ses comportement actives publiques politiques des ONG Franco-sionistes, toutes ses fréquentation sont sionistes, ses associations odieuses sous couvert humanitaire ONG. ce mécréants Kamel David il attaque avec virulence la langue noble arabe et toutes les valeurs qui lui sont attachées, profanes ou sacrées, un sujet que son ignorance lui interdit d'aborder en tant que francophile religieusement francophone. les apprentis écrivains+apprentis philosophes poussent comme des champignons et le perfidie Franco-sionistes les arrose? ce mécréant ennemi de Dieu Kamel David comme Wonder la pile que ne s'use que si l'on sert. Cordialement.
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A
Cher Monsieur, je vous remercie de vous ètre intéressé à mon sujet. Quant à la mécréance de M. Daoud, sachez qu'elle ne m'engagé en rien. C'est dieu qui s'en &quot;occupe&quot;. Ce qui m'interesse par contre c'est dénoncer cette arrogance de se substituer à Dieu pour juger la foi des Algériens qui pourtant se réclament de l'islam et de l'arabité: d'autant plus que Kamel Daoud n'a jamais renoncé à son algérianité (amazighité, arabité, islam).