Vues et vécus en Algérie et ailleurs. Forum où au cours des jours et du temps j'essaierai de donner quelque chose de moi en quelques mots qui, j'espère, seront modestes, justes et élégants dans la mesure du possible. Bienvenue donc à qui accède à cet espace et bienvenue à ses commentaires. Abdelmalek SMARI
Synopsis
L’histoire racontée dans ce roman reprend un fait réel arrivé dans l’Algérie de la fin des années ’80 du siècle écoulé où une bande de fous de la religion avait tenté de brûler vive une jeune fille, pour poursuivre, sur le plan fictif, le destin de la victime de cet acte de barbarie. Destin dont l’avènement, sa réalisation sur terre, reste néanmoins plausible, vu la bêtise des hommes et de leurs mœurs.
L’auteur
4ème de couverture pour la version française de L’occidentalista
En nous entraînant dans les tréfonds de Milan, ce roman nous plonge dans ceux de l’humanité.
Qu’il s’agisse de l’injustice, du colonialisme, de l’exil, des souffrances qui l’accompagnent, de l’exclusion, tous ces thèmes sont abordés avec lucidité et sans détour. Il en est de même quant aux préjugés, à la religion, aux barrières qui entravent l’insertion et la communication, sans oublier la folie et la mort.
La plume de l’écrivain, comme traversée par une haleine divine, se charge de sentiments nobles et positifs. Elle décrit des protagonistes maintes fois hauts en couleur.
Or, à bien y regarder, ces personnages, y compris ceux mis au ban de la société, n’incarnent-ils pas l’archétype de l’homme ?
On pourrait d’ailleurs estimer que l’alternance entre monde réel et situations oniriques illustre la condition de l’être humain en proie aux difficultés, animé d’une quête sans fin.
Par sa poésie et ses métaphores, l’auteur nous conduit, sans que nous nous en apercevions, à nous interroger sur des arguments profonds et pourtant parties intégrantes de notre vie fréquemment négligées. La force de ce roman est telle que le lecteur se penchera sur des questions essentielles trop souvent délaissées.
Une œuvre puissante, enrichissante, voire dérangeante, suite à laquelle chacun de nous, prenant davantage conscience de la réalité, voudrait s’améliorer, s’éloigner des petitesses, s’élever moralement.
Nadia De Otto
Quarta di copertina per la versione francese de L’occidentalista
Trascinandoci dentro le profondità di Milano, questo romanzo [L’occidentalista] ci porta in quelle dell’umanità.
Che si tratti d’ingiustizia, di colonialismo, d’esilio, di miseria che lo accompagna, d’esclusione, tutti questi temi sono esaminati lucidamente e semplicemente.
La stessa cosa si può dire dei pregiudizi, della religione, dei limiti che ostacolano l’integrazione e la comunicazione, per non
parlare della follia e della morte.
La penna dello scrittore, come attraversata da un soffio divino, si occupa di sentimenti nobili e positivi. Essa descrive i protagonisti riccamente e molto coloratamente.
Ma a ben guardare, questi personaggi, ivi compresi quelli emarginati dalla società, non incarnano forse l’archetipo dell’uomo?
Si potrebbe anche pensare che l’alternanza tra mondo reale e situazioni oniriche illustri la condizione dell’essere umano in preda a delle difficoltà, mosso e guidato da una ricerca senza
fine.
Con la sua poesia e le sue metafore, l’autore ci conduce, senza che ce ne accorgiamo, ad interrogarci su argomenti profondi, che pur facendo parte integrante della nostra vita, spesso vengono
trascurati. La forza di questo romanzo è tale che il lettore si concentrerà su quelle questioni fondamentali, spesso ignorate.
Un lavoro potente, appagante, inquietante anche perché scomodo, dopo il quale il lettore prendendo più consapevolezza della realtà, vorrebbe migliorare, allontanarsi dalle meschinità, elevarsi
moralmente.
Nadia De Otto