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Vues et vécus en Algérie et ailleurs. Forum où au cours des jours et du temps j'essaierai de donner quelque chose de moi en quelques mots qui, j'espère, seront modestes, justes et élégants dans la mesure du possible. Bienvenue donc à qui accède à cet espace et bienvenue à ses commentaires. Abdelmalek SMARI

Le plaisir de servir chez les bédouins (8)

 

« Et au fond de l'explication, l'explication la plus simple : on ne s'aime pas et on ne veut pas se voir s'enrichir les uns plus que les autres. Quitte à faire revenir les frères Barberousse comme l'ont fait les tribus d'Alger, il y a longtemps, et qui ne comprendront leur peine que lorsque les Ottomans ont commencé à leur voler leurs femmes et leurs puits. »  Kamel Daoud

 

Le vrai ennemi de berbericus c’est entre les Lawrence et leurs bédouins

Mais hélas, jamais le divorce entre citoyens et Etats des damnés de las terre n’a été aussi utile et aussi accessible à leurs pilleurs à-mains-armées comme en ce moment de prodigieuse prédation.

N’oublions pas que notre histoire qui date de plus de deux millénaires nous a enseigné à bien identifier notre ennemi : il est le colonisateur d’hier, sous les vestes des Ottomans et des Français.

Quant aux autres visiteurs et hôtes porteurs d’amitié, de solidarité et de richesse, ils sont et ils ont toujours été les bienvenus chez nous, dans notre pays.

Ils sont nos frères : ils doivent à l’Algérie ce que nous lui devons ; et ils ont droit à ce dont nous avons droit (la yadhlimone oua la youdhlamouna).

A ce propos je cite une autre fois Atatürk pour souligner la différence entre les amis authentiques et les ennemis déguisés en Lawrence ou en bédouins, peu importe :

« Je ne suis pas assez fou » disait Atatürk « pour mettre dans le même sac les étrangers qui nous pillent, et ceux qui nous enrichissent ! »

Le divorce entre les citoyens du tiers-monde et leurs Etats n’a donc jamais été aussi juteux et profitable aux puissances  prédatrices comme en ce moment de grandes zizanies et de grandes bordellisations de leurs pays.

Toutefois berbericus - version suiveur de bédouins - semble ne pas comprendre l’histoire de l’Algérie : ainsi donc après chaque coup lâche qu’il reçoit de son vrai ennemi il court, tel une hyène enragée, à grogner bave et péter soufre contre Israël et les Juifs !

Cher berbericus, n’oublions pas que notre ennemi, a fortiori pour nous Algériens, n’était, n’est et ne sera jamais le Juif ou l’Etat d’Israël, non !

Si ennemi il y a, ce ne pourra être que ces hordes mêmes qui, un jour d’un certain mois de Juillet 1830 débarquèrent chez nous et qui, avec leur haine, leur force de feu et leur cruauté avaient souillé à jamais l’Algérie et l’avaient profanée pour s’en emparer, s’y installer dans la durée et se livrer de plus proche donc, à partir de nos viscères mêmes, à des pillages et destruction aussi vastes et systématiques que cruels et restés impunis.

Ce sont ces hordes et leurs héritiers qui sont notre vrai ennemi, l’ennemi qui nous a occupé notre pays et nous a massacrés.

Il nous a pris les trésors d’or et de diamants dont recélaient les caisses fortes d’Alger, que les Ottomans n’avaient pas encore eu le temps de l’envoyer à la Porte dite sublime.

Il a chassé notre élite qui a préféré l’exil ou la mort plutôt que se voir humiliée par ces hordes de morts-de faims et d’assoiffés de sang.

Il nous a décapité de nos ressources économiques et humaines (des Juifs algériens) et à cet effet, la loi Crémieux nous a dépossédés de l’essentiel de nos méninges et de nos capitaux : comme par enchantement, tout ce qui appartenait à notre terre nous a été confisqué, séquestré, ne nous appartenant plus… jusqu’à l’homme !

Il a foulé des ses bottes notre mémoire (architecturale et culturelle), quand il nous a exclus de notre judéité, de notre romanité, de notre christianité ;

quand il nous a détruit celles punique et arabe ;

et quand il nous a fourrés malgré nous et malgré tous les démentis historiques et anthropologiques dans le merdier ottomano-oriental en nous donnant de tête de turc, en nous taxant de pirates et de fanatiques, en nous tenant pour responsables de ce qu’on n’a jamais fait, en nous punissant en conséquence - illogique et injuste - pour ce que les Ottomans, les vrais têtes de turc et despotes, avaient fait sur leurs rivages,  

Il nous a interdit de pratiquer nos langues (le berbère, l’hébreux et l’arabe) et professer nos religions (juive, chrétienne et musulmane),

Il a essayé de nous exterminer, au début avec les enfumades et ensuite (c’était juste hier !) avec le napalm, et de nous humilier en détruisant les traces de notre histoire et nos mémoires,

Il nous a déporté et éparpillés à travers le monde, dans tous les coins de la terre,

Il nous a utilisés dans ses guerres d’agression contre d’autres peuples innocents et a fait de nous des boucliers humains dans ses guerres avec ses voisins,

Il a exploité nos bras, nos capitaux et nos méninges et nous a paupérisés,

Il nous a réduits à l’état de macaques et avait ri et continue jusqu’à nos jours à rire de nous et de nos souffrances,

Il nous a spoliés de notre liberté et de notre dignité,

Il s’est emparé enfin de notre vie et de notre destin.

 

Identikit d’un ennemi historique, qui est aussi l’ennemi de nos frères les Juifs

Semmai, ce serait celui-là notre ennemi historique. Et chercher à l’occulter, à l’oublier ou à en rendre responsables les Juifs d’Algérie, nos frères de sang et nos compatriotes, ou ceux d’Israël et d’ailleurs, nos frères par l’humanité, la souffrance et l’innocence, serait de l’idiotie ou, pire, un crime impardonnable.

Que berbericus sache sans plus l’ombre d’un doute qu’Israël - brandi comme ennemi naturel des Algériens, par ce même ennemi (dont les nostalgériks, les fascistes, les légionnaires et les autres goumiya et leurs maitres néocolonologues ont hérité la doctrine et les méthodes) - n’est qu’une poudre soufflée dans nos yeux pour nous empêcher de bien distinguer notre vrai ennemi : le système prédateur ex et néocolonial et leurs serfs de bédouins.

Dire qu’Israël est ennemi naturel des Algériens c’est semer de la zizanie entre deux peuples qui se sont connus et adoptés les uns les autres certainement avant la venue au monde de Paris, de Londres ou de Bruxelles, des siècles peut-être avant l’arrivée de Didon et la fondation de Carthage.

D’autre part il faut voir dans ces tentatives inlassables de la part de notre vrai ennemi (qui cherche à nous persuader que c’est à cause des Juifs que les Algériens souffrent) une autre manière de punir ces mêmes Juifs, victimes d’une histoire cruelle plurimillénaire, qui ont subi les pires souffrances, les pires humiliations et le pire mépris…

Tentatives donc de poursuivre ces rescapés de la Shoa et des camps de la mort pour le fait d’avoir su et pu s’affranchir enfin des oppressions humiliantes et mortelles qu’ils avaient subies par les mains desdits Aryens et autres races-arrogamment-et-doctrinairement antisémites et de leurs suiveurs et disciples ;

et surtout d’avoir su et pu sortir presque indemnes de l’holocauste, bien qu’ils aient laissés pas moins de six millions de victimes par la complicité des vichyistes, ceux-là mêmes qui maintenant se sont découverts « allergiques au fascisme ! » et se posent comme les défenseurs naturels des Juifs !

Indemnes si l’on considérait que le projet de la Solution finale, conçu et mis en œuvre par les nazis, les fascistes et les autres collabos et sympathisants pourtant allergiques au fascio-nazisme, visait pas moins l’objectif de les effacer, de les raser de la face de la terre.

En somme notre vrai ennemi (j’espère ne pas avoir souillé le mot Vrai) avait fait pire et plus de massacres en Algérie que leurs prédécesseur Barberousse.

N’oublions pas, Algériens, que nous avons été vendus à cet ennemi vrai comme des dindons, cédés à lui comme des putes de la part des Ottomans.

Il est venu chez nous, le monstre, pour piller nos trésors, pour créer la zizanie entre les Algériens que la terre unissait malgré la divergence de leurs langues et de leurs religions et pour nous chasser de l’histoire et de l’humanité.

Et ma foi notre ennemi a commis toutes ces atrocités envers et sur nous, envers et sur notre terre, envers et sur notre personnalité, envers et sur notre mémoire, envers et sur notre solidarité et fraternité ;

Et c’est pour ça justement qu’il se révéla ennemi, qu’il l’était et qu’il l’est et le restera jusqu’au jour où il s’en repentira.

Et même avec ça il ne pourra pas prétendre à notre pardon tant qu’il ne renoncera pas à son œuvre destructrice qu’il mène toujours avec systématicité et persévérance sous d’autres cieux, sous d’autres formes, sous nos yeux : la chaotisation de nos sociétés qui cherchent à panser ses plaies, à remette sur les rails de l’histoire et de la dignité, à rattraper les retard  accumulés dans ce sens à cause de ces vicissitudes cruelles…

Mais hélas ce ne sera pas pour demain que notre Ennemi va à renoncer aux bénéfices primaires et secondaires de la domination impérialiste qu’il exerce sur nous, Non !

Cette domination absolue (matérielle et de propagande mystificatrice) lui permet d’avoir gratos tout ce qui lui manque :

organes humains de rechange,

matières premières,

marchés surtout pour les armes qu’il fabrique,

main d’œuvre,

champs d’ensevelissements de ses déchets nucléaires et chimiques,

champs d’expérimentation de ses armes et des techniques de combats,

la crédibilité dans ses mensonges comme ses tentatives de projeter toute sa haine antisémite sur les arabo-musulmans en disant « C’est pas moi c’est celui-là (Israël) ; haine qu’il n’a pas abandonnée et qu’il n’abandonnera jamais…

Donc qui ne répond pas à cet identikit n’est pas et ne saura jamais être notre ennemi.

Personne ne peut démontrer que les Juifs algériens, ceux de toute la planète et Israël répondent à cet identikit.

Et alors si méfiance devons-nous adopter envers quelqu’un, ce ne sera jamais contre ces frères que les millénaires et les dynasties du monde (puissances coloniales en tête et bédouins en queue) ont opprimés et continuent à harceler encore, aujourd’hui même, 60 ans après la shoah.

Qui ose encore accuser nos frères Juifs pour amputer davantage notre Algérie ne commet que bêtises, injustices, crimes… même si cela sera autorisée par le père eternel lui-même.

 

A propos du tribalisme dans les pays dits arabes… ou de l’antipolitique

Les Maliens courroucés ne se sont pas insurgés contre nous et ne peuvent avoir ni ont l’intention de nous envahir.

Et ils ne le feront jamais, du moins à cette étape larvaire vu que tout pays est un empire en puissance.

Bien au contraire ils seront toujours pour nous, et nous pour eux, une espèce d’arrière-garde, un espace vital dans nos moments difficiles.

Abdallah Laroui( ?) a expliqué dans son « Histoire de l’Algérie » comment les « Indignés » qu’ont toujours été (et que sont) les habitants de l’Algérie du nord fuirent les légions romaines vers le grand sud, les fameux limes du hic sunt liones, en donnant lieu à des organisations politiques.

Organisations que certains ethnologues – semeurs de mensonges et de zizanie - ont bien volontiers identifiées, ou stupidement confondues, pour en diminuer l’importance et la portée de résistance, avec des regroupements tribaux.

Qui dit tribu, dit tout sauf organisation politique digne de ce nom. Car la tribu, c’est archi-su et c’est justement pour ça qu’on y insiste, est paradoxalement une organisation politique qui dément l’existence de la politique !

La tribu basée sur le seul lien de sang est une organisation familiale fermée et réfractaire donc à la vie politique.

Elle ne saurait donc être une entité politique puisque c’est le sang qui décide du sort et de la cohésion du groupe.

Or le sang est trop narcissique pour pouvoir se dévouer à l’amour de l’autre. Il est trop sous-terrain pour pouvoir savoir de l’existence même de cet autre !

Une structure politique digne de ce nom, ça se construit activement, culturellement, historiquement. Elle ne saurait se fier des liens de sang qui peuvent la conduire à des états fascio-nazis-collaborationnistes.

Elle requiert d’autres conditions qui sont à construire dans le temps, à travers l’histoire, la géographie, les signes et les enseignements (règles, traditions, division du travail, organisation de la vie quotidienne et des rapports hostiles ou de solidarité intra communautaires ou de voisinage, brassages des mythes, des croyances et des langues…) tirés des expériences de la vie en commun d’un vaste ensemble d’individus, de familles et de groupes humains réunis par le temps et la nécessité de survivre dans un territoire bien identifié.

Considérer qu’en Algérie existent encore des tribus, après les massacres romains, arabes, turcs et les enfumades systématiques et scientifiques françaises et leur napalm, c’est chercher à prouver la quadrature du cercle ;

c’est réduire les Algériens à des formes de communautés animales (toujours est-il qu’il soit possible là aussi de trouver des formes totalement familiales et tribales qui se basent sur le seul lien du sang), de primates dans les cas les plus heureux ;

c’est nier aux Algériens la capacité de pouvoir avoir des formations de type politique ;

c’est leur nier leur aptitude à être souverains de leur territoire et responsables de leurs destins ;

c’est leur nier leur humanité quand on base leur vie sur le seul lien de sang, sur l’instinct, sur leur seule dimension animale ;

c’est leur nier leur la dimension historique : la solidarité, la politique, la mémoire, l’histoire, la liberté, la dignité, la justice, la culture, la civilisation enfin !

et il n’y a pas que notre illustre Ennemi qui cherche à diffuser cette culture de l’antipolitique pour nous fixer, nous crucifier, nous chrysalider dans l’ère de la pierre et venir nous dire ensuite que nous avons besoin de l’ordre, besoin d’être humanisés, civilisés…

Et alors il aura raison car l’antipolitique, chez l’homme, c’est la mort de sa mémoire et de sa dignité. Et ça le rend vulnérable et enculable donc.

Et ainsi notre ennemi fait-il quand il nous pousse dans cet état de barbarie, soit en nous dispersant dans le désert de la non-histoire comme avaient fait les romains, soit en semant la zizanie entre nous et nos gouvernants, soit en nous réduisant à une mosaïque de tribus et de clans…

Je disais, il n’y a pas que notre ennemi qui veut nous clouer sur une telle croix de l’ignominie, il y a des gens, des intellectuels, ou présumés tels, comme ce berbericus Hadj Mostefaoui journaliste au Quotidien d’Oran qui écrit le 05 11 12, auteur de l’article « El-Bayadh : Affrontements entre deux tribus, quatre blessés »

Il explicite le titre en écrivant :

« L’ouverture de la saison des labours-semailles donne lieu, comme d’habitude, à des frictions tribales. »

On peut dire que, lassé et scandalisé par ces lites et bagarres absurdes, d’un autre âge, que les Algériens continuent à se livrer, notre journaliste a utilisé le mot tribal pour rendre l’affreux et l’archaïsme d’une telle conduite.

Suivons-le, il continue :

« Deux tribus qui se disputent la propriété de vastes terres dans la région de Sidi Ahmed Bel Abbès, se sont livrées à une véritable bataille rangée. Chacune d’elles prétendait disposer à sa guise et comme elle l’entendait de ces terres et entamer ainsi l’opération d’emblavement. »

Non il ne s’agit pas de métaphores mais bien de l’existence réelle, dans la tête de l’auteur (malheureusement réellement réelle, sa tête !), de ces dites tribus.

Mais, ne quittez pas la page, regardez plutôt ce qu’il en dit à la fin, lisez la suite :

« Des éleveurs qui défendent des terrains de parcours et des fellahs leur gagne-pain, soit des terres longtemps mises en jachère qu’ils voulaient récupérer. Chacune des deux parties voulait tirer à tout prix la couverture vers elle et s’approprier ces terres. » !!!

Il faut reconnaître que M. Hadj Mostefaoui avait quand même un grain de dignité ou d’honnêteté intellectuelle : il n’a pas trop abusé de notre patience et de notre confiance en lui.

Et il est si bon : il n’a pas laissé le lecteur dans cette sorte de suspense amère et insupportable, il nous a donné la solution du rébus.

Le mot « tribu », ça signifie pour lui « partie » dans une bagarre…

Comment peut-on rester de marbre devant une telle ineptie, une telle ignorance historique et anthropologique ?!

Eleveurs contre fellahs…

Combien seraient grandes les dimensions de ces deux tribus, d’étendue planétaire puisque dans toute la terre et depuis des millénaires ont toujours existé des éleveurs d’un côté et de l’autre côté des fellahs, des agriculteurs pour les non arabes ?!

Mais M. Hadj Mostefaoui ne sait peut-être pas que l’une des caractéristique fondamentale d’une tribu est d’être circonscrite dans un douar, dans un quartier ou dans un village bien précis… c’est pourquoi il lui a échappé, à notre journaliste une telle stupidité.

Le pauvre, il n’a même pas le mérite d’être le premier à confondre ces deux classes sociales avec une structure biologique comme celle de la tribu : le mérite, le grand et vrai mérite, revient aux colons anglais quand ils avaient forgé - à partir de quelques leurs hallucinations acoustiques (vu leur ignorance des langues locales des peuples dominés par eux) - les mots Tutsi pour « tribaliser » les fellahs du Rouanda et Hutu pour « tribaliser » ses bergers éleveurs.

Nous savons tous désormais jusqu’où peut mener une telle systématique… à part peut-être le dernier arrivé M. Hadj Mostefaoui qui s’est montré champion dans la haine de soi, typique pour un bon bail de l’espèce berbericus…

 

Abdelmalek Smari

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K
Les vrais algériens qui vivent sur cete terre nes'interessent jamais aux jappements de chiots mal élevés , savez vous monsieur que vous venez de nous donner la meilleure signification de l'inégalité des races et des espèces , vous serez accueilli à bras ouverts par les gays , qui est on le croit votre véritable famille ; Un bon conseil d’algérien Torchez vous la bouche avec vos sales commentaires .
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A
Si j'ai bien saisi le sens de votre insensé message, vous vous senti un peu visé par ma critique qui vise seulement les aliénés et leurs mentor (menteurs, et monteurs aussi), les mystificateurs. S'il s'agit de ça, je suis navré de vous avoir froissé. Merci tout de mème pour votre réaction qui serait toujours mieux que l'indifférence. Malik
C
L'histoire est vraiment dans les millions de situations similaires! Il est temps de savoir comment mesurer leurs politiques!
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S
Lorsque l'état et de ses habitants parlent un peu neponyatki alors blâmer les gens! Beaucoup dépend des politiciens eux-mêmes!
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S
Je pense que pour être riche mal du tout! La principale chose - qui était une tête sur les épaules, et tout le reste - est un non-sens! Vous ne pouvez pas nous reposer sur nos lauriers!
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P
So gut wie jeder verzweifelte Studentin zusammen mit funktionellen Besonderheiten mit jedem unserer Arbeit gemacht, um zu bestellen Komponieren Unterstützung zusammen mit funktionellen Komponieren Punkten. Für alle,
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