Vues et vécus en Algérie et ailleurs. Forum où au cours des jours et du temps j'essaierai de donner quelque chose de moi en quelques mots qui, j'espère, seront modestes, justes et élégants dans la mesure du possible. Bienvenue donc à qui accède à cet espace et bienvenue à ses commentaires. Abdelmalek SMARI
" والسّبب في ذلك أنّهم أمّةٌ بِاستحكامِ عوائدِ التّوحّشِ وأسبابِه فيهم فصار لهم خلقًا وجبلّةً ، وكان عندهم ملذوذًا لما فيه من
الخروج عن ربقةِ الحكمِ وعدم الانقيادِ لِلسّياسةِ ، وهذه الطّبيعة منافيةٌ للعمرانِ ومناقضةٌ له ، فغايةُ الأحوالِ العاديةِ كلِّها عندَهُم الرّحلةُ والتّغلّبُ وذلك مناقضٌ للسّكونِ الّذي به العمرانُ
ومُنَافٍ له : فالحجرُ مثلا إنّما حاجتُهم إليه لِنَصْبِه أثافيَّ للقِدر ، فينقلونه من المباني ويخرّبونها عليه ويُعِدُّونه لذلك .
والخشبُ أيضا إنّما حاجتُهم إليه ليَعْمِدُوا به خيامهم ويَتّخِذوا الأوتادَ منه لبيوتهم فيخرّبون السّقفَ عليه لذلك ...
وأيضًا فَطَبيعتُهم انتهابُ ما في أيدي النّاس ، وأنّ رزقَهم في ظلال رِمَاحِهِم ، وليس عندهم في أخذ أموال النّاس حَدّ ٌ
يَنْتَهُونَ إليه ، بل كلّما اِمتدّتْ أعْيُنُهُم إلى مال أو متاع أو مَاعُونٍ انتهبوه ...
وأيضًا فَلِأنّهُم يُتْلِفُون على أهل الأعمال من الصّنائع والحِرَفِ أعمالَهم ، لا يرون لها قيمةً ولا قِسْطًا من الأجْرِ والثَّمَنِ ... " *
من مقدّمة " عبد الرّحمان بن خلدون"
Cher frère Levert ,
Je sais que tu n’es pas Français, car je n’ai pas encore connu de Français qui portent un nom pareil. Je sais que ce n’est qu’un surnom : la traduction littérale d’un nom cher à homo berbericus. Je sais aussi que celui-ci se définit moins par sa race ou sa culture que par ses mœurs et habitudes actuelles. En effet et quoi qu’en on dise notre homo partage peu de choses avec ses ancêtres. Il est plutôt enclin à singer ses contemporains, tantôt Orientaux, tantôt Occidentaux. L’on peut même dire qu’il n’est jamais ni l’un ni l’autre, mais il prétend d’être l’un ou l’autre, ça dépend de comment tournent les vents de l’histoire. Et s’il veut être l’un ou l’autre c’est justement parce qu’il n’a pas encore su être soi-même – ou l’a-t-il appris et oublié ? En tous les cas il ne cherche pas à se casser la tête pour inventer sa propre personnalité. Ce qui reste vrai, c’est qu’il a toujours eu une âme torturée. D’où son esprit trouble et sa raison absente ou scandaleusement nomade et volage car inconsistante.
Une anecdote, bien algérienne, raconte qu’un personnage typiquement berbericus, c’est-à-dire pleinement aliéné et facilement aliénable, qui s’était transféré en France pour gagner (photographier écrira-t-il à son frère) le pain de ses enfants. Il décida un jour d’écrire une lettre à son frère. Il la voulait une lettre spéciale, digne donc de la nouvelle situation sociale, enviable et prestigieuse, qu’il avait conquise. Son frère s’appelait « Lakhdar ».
Il n’y avait pas encore de téléphone dans nos douars de villes ou villages où nous habitons. A défaut de l’oral, nous nous écrivions ! Notez un peu le paradoxe : souvent, du point de vue de l’anthropologie sérieuse et orthodoxe qui sort de la bouche même des grandes universités dites occidentales (garantes du Savoir vrai et point intéressé), l’oral devance chronologiquement l’écrit ; mais chez homo berbericus c’est le contraire ; et tout est, chez lui, à la fois possible et impossible !!!
Lakhdar, en français Levert, reçut donc de la France sa lettre. Pour exprimer sa joie ou prouver qu’il était bien en France, son frère choisit de lui écrire en Français. Seulement voilà : s’il a été bien capable d’apprendre grammaire, conjugaison et autre lexique, il a terriblement échoué dans son entreprise d’apprendre les nuances des mots et l’immense mer des « modes de dire », c'est à dire l'âme de la langue. Ainsi, à défaut, il traduisait les siens, ceux de la langue de ses douars.
Est-ce là une sorte de revanche de l’authenticité linguistique qui ne voulait pas qu’on la souille et l’abâtardisse en la mélangeant avec d’autres langues ? S’agit-il d’une espèce de signature, inconsciemment brandie par le frère de Levert comme une épée tranchante, afin de se défendre en quelque sorte de son aliénabilité ? Ou bien est-ce plutôt la langue française, elle-même, qui s’est refusée de se donner entièrement à ce genre de souilleurs des langues et pirates linguistiques ?
Voici le début de la lettre en question. « Cher frère Levert , hier je me suis levé à l’œil du matin pour photographier le pain de mes enfants. Quelqu’un me l’a acheté, je recule et j’avance et je lui donne le bruit j’ai porté son bon dieu une ceinture… » outre le froissement de la langue de nos voisins (le français), l’on trouve presque tout de homo berbericus, de sa nature en somme.
Il y a la générosité d’abord et le sens du devoir familial (mais qui reste au plan instinctif, heureusement !), puis il y a le reste : le blasphème, le nif, la violence, la vantardise, le besoin de raconter ses mensonges et sa stupidité, le délire de persécution, la barbarie, le despotisme … les 17 vertus enfin que compte un Algérien de souche, un Algérien qui se respecte. Les 17 vertus qui traversent de part en part les Algériens du plus modeste balayeur jusqu’au plus magnanime président de la république, en passant par toute la gamme des extralucides talebs.
Cher Riad,
veux-tu toi aussi que je traduise ton nom ? mais toi tu es Libanais. Peut-être que tu n’en a pas besoin. Je te demande pardon si je te cite dans ce bourbier. Mais puisque tu partages tant de vertus avec ton lointain (parent ?) voisin. Ne m’en veux pas, c’est la faute à cette exécrable catégorie épistémologique GMO, ce sac d’ordures où nous a fourrés l'oncle Sam par le concours de ses inconditionnels bienheureux vassaux, grands et petits serfs d’Orient et d’Occident !
Bref, j’ai lu avec une grande joie ton article sur le déclin des néo conservateurs dans l’Administration du régime de Bush fils. Tu m’as fait tant espérer après une longue période noire de doutes et de déceptions. J’aimerais tant te croire, mais hélas mon coeur n’arrive plus à croire en rien de beau ou de juste. Rome, la grande dame, tu l’as citée justement parce que son histoire nous enseigne que l’Histoire est une princesse dévouée aux seuls grands « les éternels vainqueurs » de toutes les coupes en toutes les époques.
Malheureusement, Madame Rome est passée à la postérité avec une grande élégance et une grande dignité. Aujourd’hui encore elle a tous les honneurs intacts et elle est l’unique à avoir droit de cité. Elle est l’unique avec laquelle on peut - sans vergogne aucune et sans risque d’être ridicule - comparer les USA. Quant aux différentes rebellions des différents peuples, si elles ont encore quelque existence, elles restent comparables aux aboiements des quelques chiens hardis et aventureux qui agacent, certes, la caravane mais jamais ils ne lui feront perdre le chemin ou l’objectif.
Tu trouves durs mes propos ? C’est naturel, puisque c’est cette réalité même qui me fait perdre la joie et l’envie de vivre ou d’espérer. Malgré ça, j’avoue que ton analyse m’a fait rallumer la petite et maigre chandelle de l’espoir qui m’est restée. Apprendre par la suite que tu es libanais et que tu as eu une connaissance pratique du Coeur de l’Empire, franchement et sincèrement, ça m’a rempli de joie. Je ne sais pas s’il y a quelqu’un qui puisse traduire cette réponse en Arabe ou en Anglais, mais je suis sûr qu’un peu de français, un Libanais le peut mastiquer, tout comme son (frère ?) voisin lointain, berbericus. Je regrette seulement - en bon Algérien qui regorge à étouffer de vertus - de ne pas avoir pu répondre en arabe. Comme tous mes concitoyens, bien sûr j’en ai honte mais je ne vais pas mourir pour ça. Merci bien pour ton bel article et pardonne-moi si je ne t’ai pas vouvoyé.
أضعف الإيمان
Cher El Watan, cela m’étonne énormément de vous entendre (vous lire) parler des mystères génético-évolutionnistes et vous voir publier dans le même temps un commentaire qui ne tient debout par aucune forme d’entendements : en jugeant de la connaissance de la langue française du commentateur, dont vous avez publié les propos mal-à-propos, l’on peut déduire qu’il n’a pas compris du tout de quoi il s’agissait dans votre article.
Le fait de confondre arabité et islamité est révélateur de combien est boiteuse la connaissance culturelle la plus immédiate et la plus banale donc que ce Monsieur a à disposition. Ça dénote aussi qu’il ne possède (le pauvre !) aucune idée de ce que peut être la science ou le débat sur la science !
Ayez pitié de lui et de tous ceux qui, comme lui, appartiennent à la lignée de berbericus, c’est-à-dire : arrogants car, justement, ignorants. Veuillez les présenter au moins avec quelques fards… linguistiques, comme on fait en Télévision : quand on veut présenter quelqu’un, on le fait passer chez quelques maquilleurs. C’est tout ce qu’on puisse faire et c’est le moindre des maux : أضعف الإيمان .
Et si vous ne vous la sentez pas ou vous vous en foutez, essayez au moins d'épargner à la langue française nos foutaises.. l’innocente et belle langue que les aléas de l’histoire et les efforts des siècles nous ont mise entre les mains! Ne la maltraitez pas pour le prétexte de ne pas faire de censure.
Plaisanteries à part, vous savez bien que vous excellez, vous aussi, dans l’art de la censure. Mais soyez tranquilles : de toute façon pour une telle œuvre (combattre la médiocrité), personne ne vous tiendra rigueur. Bien au contraire, on vous en saurait grand gré. A moins que vous vouliez ajouter au ridicule du malheureux commentateur un tantinet de force et d’épaisseur. Alors vous seriez, vous-mêmes, vraiment méchants et pas moins ridicules.
Sachez que les rares personnes – celles qui s’entendent vraiment dans ce genre de débats sur le savoir - seront toujours un peu trop loin ou trop occupées pour pouvoir lire ce type d’écrits présumés (mais guère) scientifiques et sérieux. Ecrits, en plus, publiés par un journal, le vôtre, non spécialisé en informations ou vulgarisations scientifiques. Je le présume, du moins. Et s’il y a quelqu’un parmi cette précieuse élite qui daigne lire ce type d’articles publiés dans ce type de journaux, il est rare qu’il s’y arrête pour les commenter ; d’ailleurs y trouvera-t-il quelque substance d’idées ou de connaissances ? Acceptera-t-il d’y perdre son temps dans de faux débats ?
Je ne suis pas un journaliste, je ne sais pas comment ça fonctionne ce genre d’exercice, mais j’ai réagi ; car je trouve que ce commentateur a diffamé - avec votre silence (complice ?) - d’abord soi-même, ensuite la langue française et enfin la science en ne manquant pas bien sûr de vous éclabousser avec votre journal.
Et que dire de Toi, nuisible cafard,
auteur respecté de cette autre ineptie « Vingt deux autres petits dieux viennent de naître en Algérie pour renforcer ceux qui existent déjà » ?
Qui es-tu pour pouvoir faire la différence entre ce qui est Dieu et ce qui est zaouali ? Un super-dieu, peut-être ? Ou bien les dieux mêmes sont-ils ton affaire ? et dans ce cas alors tu les connais bien pour les avoir longtemps servis ? Regarde bien mon fils et apprend une chose : les dieux sont de deux types: Ceux que tu as connus personnellement et qu’ils t’ont déçu parce qu’il t’ont largué, bien que tu leur aies toujours léché les bottes ; Et les dieux (que tu courtises dans le fond de toi-même mais sans succès) - généreux, ceux-là - mais pas à s’effacer devant ton arrogance que tu crois bien cacher.
Un conseil d’Algérien à Algérien: cherche plutôt de t’occuper de tes couches ou, mieux, de tes moutons! Quant aux nouvellement promus généraux dans l’armée algérienne, bien que leur promotion fasse partie d’un stupide rite nécessaire, même si enviable, tu ne pourras jamais les atteindre par tes crachats.
Tu manques d’esprit, de respect et d’imagination quand tu compares ces vingt deux éléments, que tu n’as pas connus ni jamais tu connaîtras, aux voleurs de la bande d’Ali Baba. Sache, fiston stupide et gratuitement méchant, que quoi qu’elle soit la moralité de ces généraux, tu ne seras jamais bien placé pour les juger. Ton style renseigne déjà sur ta moralité qui a rayé de ses registres l’indulgence et le respect. Et puis, sauras-tu jamais ce que moralité veut dire ? Es-tu certain que tu vaux mieux que nos généraux ? Un autre conseil, je ne te le refuserais pas, le voici:
« Cesse de t’affliger inutilement. Cesse de faire le Torquemada, car d’abord personne ne t’en a chargé; ensuite, si tu insistes, donne-nous-en des preuves, même fausses, même idiotes; enfin montre-toi aussi actif et laborieux que ces promus généraux et alors tu auras le droit de les critiquer, mais pas de les insulter. Regarde-toi, tu ne sais même pas écrire une phrase correcte. Tu n’es même pas capable d’aller au-delà d’une semi phrase!
Es-tu sûr que tu fais bien ton boulot ? que tu es honnête ? que tu ne jettes pas tes ordures par la fenêtre ? que tu paies les factures des services, le loyer, le gaz, lìélectricité et les impôts ? que tu es capable de lire au moins un livre par trimestre? Et même, en t’acquittant de tous ces devoirs civiques, tu n’auras jamais le droit d’insulter des gens que peut-être, même dans l’Au-delà, tu ne pourras rencontrer ou en connaître quelques vices ou quelques vertus.
Quant à Ali Baba, le citer c’est de l’imposture car il ne fait pas partie de la tradition culturelle de l’Algérie. Et puis, comme personnage, il est périmé, obsolète, fétide et s’il a encore quelque vertu c’est qu’il est capable de verser toute sa puanteur sur celui qui y recourt.
Bon sang! Que faut-il pour t’apprendre que des gens de ton espèce ne sont que de grossiers et nuisibles cafards?!
Oh homo berbericus,
oh pauvre incompris et doublement mal-aimé ! Mal-aimé par soi-même et par son prochain ! Moi je ne te veux que du bien, rien que du bien. Mes mots ont la dureté du chocolat et la douceur aussi. Il y a ceux qui ne te considère même pas, comme cet imbécile (c’est ton frère car il te ressemble) qui te crie en face en te vouvoyant : « Oh vous le berbère amazigh mangeur de sangliers et mécréant de nature, rejoignez plutôt vos maîtres infidèles auxquels vous êtes soumis au lieu d’interférer dans les affaires musulmanes. » Tu sais ce que je lui ai répondu ? Je lui ai écrit :
« Tu es idiot ou quoi, toi qui insultes les Berbères et ne sais pas que tu n’es qu’un Berbère, avec cette différence près que tu es gravement, irrécupérablement, aliéné par l’arabe et les Arabes ?! Cesse de t’insulter toi-même, Berbère Amazigh qui t’ignores et t’auto-flagelles par les cravaches de tes seigneurs d’Orient et d’Occident ; espèce de masochiste parfait, chaussé et vêtu de bêtises !
Le TPI condamne (sans doute injustement et avec arrogance) le président du Soudan, et toi tu n’as rien trouvé d’autre à faire que verser les larmes de ton impuissance et le venin inhérent à ta méchanceté sur les gens de ton propre peuple ! Gens qui sont chair de ta chair ! Ou bien est-ce que tu te prends pour le plus malin des Algériens ? A te lire, je doute que tu as été à l’école. Quant à savoir placer deux ou trois mots au milieu du reste des mortels, le singe des Gardner a eu plus de fortune que toi : malgré ses limites d’animal (qui se respecte mieux que toi), il a été capable de concevoir et réaliser plus de 50 mots. Va plutôt te regarder au miroir et tâche de ne pas trop pleurer. »
Hélas les évènements, avec leur cours infernal, ne nous laissent pas le temps de revenir sur nos entreprises et nos actions. Ils nous obligent ainsi à toujours courir derrière des chimères et des bêtises sans jamais rien obtenir de pertinent ou de décent.
Ainsi à l’apparition du mot Karadzic, berbericus (qui soutenait tant le frère Tito et le rêve de Bandung) oublie Omar El Bachir et s’emporte : « Inchallah tous les despotes et criminels seront rattrapés par l’Histoire et jugés au TPI, en commençant par les dictateurs Arabes et Africains et les leaders sanguinaires islamistes qui ont ensanglanté mon pays et tué et égorgé des milliers de citoyens innocents » !
C’est la même personne, ou presque, qui toute à l’heure dénigrait les généraux algériens, maintenant la voici s’en prendre à toute la terre des damnés. Ma réponse sera toujours dure et douce comme le chocolat sur une crème glacée. Je lui ai dit :
« Et pourquoi pas en commençant par toi ? Ou bien est-ce que tu es plus gentil et plus pur que tous les mortels de toute la terre et de toute l’histoire ; plus innocent et plus ange que les anges eux-mêmes ? Qui t’a dit que les soi-disant épurations ethniques en ex Yougoslavie et la propagande de l’axe du mal - formés par l’alliance des traîtres et obscurantistes Christiano-musulmans (au service des multinationales et des puissances ex et néo coloniales) - n’étaient en fait que de cruels mensonges ? Qui t’a dit qu’ils n’étaient pas une mise en scène infernale montée et réalisée justement par les stratèges impérialistes pour créer l’alibi et l’occasion (une sorte de précédent légalisant) d’expérimenter de nouvelles formes d’humiliation des peuples, de destruction de leurs Etats, d’occupation de leurs territoires, de création de zones de conflits artificielles afin d’écouler leurs marchandises d’armes et de drogues, d’exploiter les forces des damnés de la terre et de leur confisquer leurs ressources et leurs richesses ?
Quant à ton Inchallah, cherche plutôt de le ranger dans un autre discours plus décent. Car seul un hypocrite, un ignorant, un aliéné ou un comédien irresponsable peut aligner l’expression Inchallah avec des vœux du mal.
Un peu de critique et de décence intellectuelle, si tu te prends pour un instruit engagé !! L’histoire récente te démentit, cher berbericus de mystificateur et d’aliéné, avec une grande évidence. Honte à toi ou, peut-être, Pauvre toi ! A suivre.
* La citation en arabe est d’Ibn Khaldoune “La Mouqaddimah”.
Je l’ai paraphrasé parce qu’il dit plus ou moins de l’esprit des Nomades (lui, il utilisait le mot « arabe » mais c’est le nomade ou plutôt l’esprit nomade en général qu’il entendait) ce que j’ai voulu dire dans mon présent écrit. Je n’ai pas l’intention donc d’évaluer mon concitoyen mais seulement de fustiger nos mœurs en essayant de les décrire. Que mes mots servent de miroir pour que nous puissions voir bien de quel type de souillures est couvert notre habit moral.
Smari Abdelmalek